Entends mes paroles, ô Frère Guerrier.

Laisse-les résonner dans l'éclat de leur vérité.

Il est temps maintenant d'être ta vision

Car le monde a besoin de toi.

Chevauche le vent, ô guerrier paisible,

Jusqu'au lieu qui retient ta peine,

Et libère la blessure qui entrave ta vision,

Puis ouvre-toi grand pour aimer à nouveau.

Nous pouvons rêver avec nos Ancêtres,

Nous pouvons saluer l’Étoile du Matin.

Ensemble nous pouvons trouver le chemin

Qui nous fait être fiers de ce que nous sommes,

Devenir les visions que nous sommes.

Alors voyage haut et loin, mon Aigle Danseur,

Circule en pénétrant les vents du changement.

Avance libre dans ta quête de vision,

Ressens, guéris, et aime à nouveau.

Puis tiens-toi dressé, mon guerrier spirituel,

C'est la gloire que tu sèmes dans la lumière.

Et continue à rêver, guérisseur de mon cœur,

L'amour en toi est tout ce dont tu as besoin.

L'amour en toi est tout ce dont tu as besoin.

Jamie Sams

Durant Tri nox Samoni (les trois nuits de Samhaïn), nous pouvons nous libérer de nos chaînes en effectuant le rituel des petits papiers. Trois nuits sacrées où le temps est suspendu entre ce qui a été et ce qui sera « en dehors du temps » avec tout ce qui est fondamental, essentiel et constitutif. C'est une période transitoire vers la nouvelle année celtique. La nuit la plus importante étant bien évidemment celle du 31 octobre au 1er novembre. Un moment qui n'appartient ni à l'année qui s'achève ni à celle qui va commencer.

Ce rituel permet de faire le point sur sa vie et de rompre avec le passé, pour une vie plus sereine. Laissons aller/mourir ce qui n’est plus utile dans nos vies, ce qui ne nous convient plus, en notant sur des petits papiers tout ce dont nous souhaitons nous libérer : soucis, colère, mauvaises habitudes, relations toxiques, etc. Et ensuite... On brûle ! Avec une intention sincère de se libérer !

Symbole de purification et de régénération, le feu  représente à la fois la mort et la renaissance, il est le moteur de toute dynamique. Grâce à cet élément sacré, l'Univers nous offre l'occasion de prendre un nouveau départ.

Si vous préférez faire des vœux, notez-les plutôt sur des feuilles de laurier (sauce) que vous brûlerez ensuite. 

Après coup, vous pouvez disperser vos cendres à la surface de l'eau, au vent, ou encore les enterrer en pleine nature.

© Oxia's Stones - Mary

Ô Protectrice des enfants à naître,

Je te consacre mon œuvre :

protéger le caractère sacré de la vie humaine,

de sa conception jusqu'à sa mort naturelle,

répandre la Bonne Nouvelle,

renouveler et protéger le caractère secret de la famille.

Je demande la protection toute spéciale de l'Enfant Jésus,

de toi sa Mère et de Saint Joseph,

gardien de la Sainte Famille de Nazareth.

Amen

« Par Yavhé le trois fois grand,

Par les Maîtres Ascensionnés, les Guides et les Anges,

Par le Très Haut Tout Puissant,

QUE LA MAIN DIVINE M'ENTOURE ET M'ENLACE DE SA TRÈS GRANDE PUISSANCE.

QUE CHAQUE CELLULE DE MON CORPS SOIT EMPLIE DE LUMIÈRE DIVINE.

QUE L’ÂME ET LE CORPS SOIENT LIÉS À L’AMOUR DU PÈRE ET DE LA MÈRE,

PAR LE PÈRE ET PAR LA MÈRE 

QUE TOUT MON ÊTRE SOIT PROTÉGÉ ET BÉNI.

QUE LA LUMIÈRE DIVINE PÉNÉTRE EN MOI ET AUTOUR DE MOI.

JE SUIS CELLE QUE JE DOIS ÊTRE 

JE SUIS LA LUMIÈRE. »

Auteur Inconnu

Je suis celle qui possède la rame dans la barque du commandement.

La souveraine de vie,

Guide de la lumière sur les belles routes,

Je suis celle qui fixe les câbles devant les gouvernails, sur les routes de l'Occident,

Je suis la Troisième,

La souveraine de brillance,

Celle qui guide le grand qui est épuisé sur les routes des éveillés. 

Je suis celle qui possède la splendeur sur les routes du ciel nuageux.

Je suis celle qui possède les vents dans l'île de la joie, Je suis celle qui possède des avirons,

Qui guide ceux qui sont dans leurs cavernes,

Je suis Hathor,

Souveraine du ciel du nord,

Qui fixe les câbles des éveillés,

Je suis une place de quiétude pour celui qui pratique la justesse.

Un bac pour ses élus,

Celle qui crée la barque pour traverser le juste."

Textes des Sarcophages IV: 177a-j et Livre de sortir au jour, chapitre 186.

Anaïs Theyskens